Chantiers

Je vois les chantiers comme des lieux libres. Des lieux où le regard peut circuler en jouant dans la multitude de micro-espaces offerts, tenter les ouvertures qui les dissèquent, se satisfaire au soleil qui y pénètre en se prélassant à la lumière qui vient réinventer l’ordre des espaces par ses fluctuations. Qui vient se tester sur les différentes matières, l’élément organique n’étant, à son tour, jamais trop loin, se mêlant à l’architecture, la ponctuant, la dissimulant parfois, dans un jeu d’interdépendance et de rythme.